Ce genre de truc, tu les laisses trainer dans un coin de ta tête en te disant que le temps clarifiera ta pensée, et qu'au moment de t'y mettre, il n'y aura plus qu'à rédiger. Puis quand ce moment arrive, et bah nan. Alors tu découvres subitement que ta chambre n'est pas rangée, que la cuisine est sale et t'as du linge à laver. Tous ces truc que tu ne fais jamais te servent maintenant d'échappatoire momentané. Tu converses par sms avec une pote de galère qui elle a abandonné pour le moment. Alors tu te sens forte de tenir le coup.. Puis tu finis toi aussi par baisser les bras et accepter d'aller boire l'apéro chez elle, en sachant très bien que demain , tu n'auras pas le temps de t'y mettre. Mais il faut se rendre à l'évidence, juste une intro en deux heures de travail, et bah c'est pas ce qu'on appelle de la grande productivité ma ptite ! Même le sommaire, il veut pas s'afficher, et Word te mène par le bout du nez.
Ca y est, tu peux officiellement dire qu'il y a des aspects plutôt chiant dans ta formation. Jt'en foutrai moi des rapports de stage !
Et alors ?
Par Dimanche 29 décembre 2013 à 17:23
le c'est toujours tentant de remettre les choses a plus tard..
et alors..
La discussion continue ailleurs...
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<< ...
Moi, le "rapport de stage", je le rédige aux 3/4 pendant le stage lui-même : observations, idées, sur un petit carnet de notes. Ensuite, au moment de rédiger, c'est plutôt le trop plein d'idées, observations, ressentis, qu'il me faut mettre en forme, en plus des pages "cadre" (présentation de l'entreprise, des lieux, cartes...etc...). Je me sens obligée d'élaguer... Bon courage !